A récent article de Vox reports that half of the studies you read about in the newspaper are wrong. The primary reason, according to this study (which could be wrong as well!), is because science journalists chase that one clear, unambiguous headline which reports a specific conclusion. Unfortunately these headlines are often based on a single study, which lowers the credibility of the recherche and paints an incomplete picture.
Rapports PLOS que :
"Les journalistes couvrent de préférence les conclusions initiales bien qu'elles soient souvent contredites par les méta-analyses et informent rarement le public lorsqu'elles sont disconfirmées."
En outre, les chercheurs essaient généralement de reproduire les résultats publiés, et non de les contredire ou de les démystifier. Cela conduit à se fier à des données douteuses éventuellement publiées à partir d'une seule étude et à reproduire des erreurs et des conclusions erronées. Lorsqu'elles sont publiées par des sources fiables, ces informations induisent en erreur non seulement le public mais aussi le monde universitaire. Je cite Chelsea Lu"...ce n'est pas parce que c'est publié que c'est juste."
Les journalistes sont également susceptibles d'avoir leurs propres agendas, selon ce rapport du Guardian. Sometimes, the intention of the writer is not just communication scientifique but also advocacy and activism. It is difficult to hear an unbiased, purely informative voice among so many voices, all seeking attention and readership. Facebook and Twitter also play a role in spreading incorrect news among specific groups of people, leading to the creation of ‘echo chambers’, where like-minded people read, digest and share the same news among themselves, adding strength to misinformation.
Une solution pour décourager et peut-être réduire la déformation de la recherche dans les médias consiste à demander aux journalistes de faire vérifier leurs articles par un expert indépendant en la matière. Consulter un scientifiqueLe spécialiste, qui est susceptible d'être au courant des dernières découvertes, peut aider le journaliste à obtenir un retour constructif et une image précise des conclusions de l'étude en question. Le spécialiste concerné peut également orienter le journaliste vers les bonnes ressources susceptibles de fournir des informations complémentaires ou des contre-arguments à une étude particulière. Ainsi, non seulement le journaliste économise du temps et de l'énergie, mais il s'adresse également à une source fiable, qui peut fournir des informations précieuses pour le rapport scientifique.
Début 2015, des gros titres présentant la consommation de chocolat comme un moyen de perdre du poids ont fait le tour du monde. Le scientifique qui a publié cette recherche a effectivement mené l'étude, mais dans l'intention de montrer à quel point il est facile pour les journalistes scientifiques de diffuser des informations non vérifiées. L'étude elle-même présentait un grand nombre de problèmes qui auraient conduit à des résultats inexacts. NPR écrit,
“And finally, none of the reporters who covered it asked an outside expert to weigh in on the research – standard operating procedure in good science journalism. If they had, an astute scientist would have spotted the problems with the study design immediately.”
Le journalisme scientifique implique des recherches approfondies, un contrôle rigoureux des faits et une vérification auprès de sources multiples. Dans ce article équilibré sur les bienfaits du collage pour la santé, par exemple, CNBC présente les avantages revendiqués et renvoie à des sources qui confirment ou contestent chaque affirmation.
Journalists wield immense power in the digital age, where information spreads within seconds. But as we all know, with great power comes great responsibility. Responsible and well-researched science journalism prevents the audience from being misinformed and researchers from building on flawed studies. It helps control the quality of information that flows from scientist to reader and separates fact from fiction, so we all have a world that’s better aware.